Essai
La dernière génération
" La dernière génération"
Quatrième de couverture :
Inutile de chercher, au cœur de ce récit autobiographique, une quelconque cohérence dans l’enchaînement successif des événements.
L’auteure explore l’univers onirique de l’enfant relié aux éléments du monde. A l’aube des années quatre-vingt, l’adolescente subversive, puis la jeune femme amoureuse invite le lecteur à entrer dans les émotions artistiques de son temps. Sans ordre apparent, la mémoire œuvre pour une restitution juste de l’instant. Affleurement fragile. Le présent révolu se diffracte en une multiplicité d’occurrences lumineuses ou obscures, tout aussitôt dissolues dans les profondeurs abyssales du passé.
Au hasard du parcours littéraire, émaillé çà et là d’histoires personnelles, nous rencontrerons Roland Barthes (L’Empire des signes), Nagisa Oshima (L’Empire des sens), des étudiants irlandais de l’IRA déjeunant avec des anglais, Virginia Woolf, John Merrick (Elephant Man), Wim Wenders (Les Ailes du désir), Petru Dumitriu (Incognito), Queen, David Bowie, Serge Gainsbourg, Etienne Daho, Michel Polnareff et bien d’autres figures encore….